Hiraku Cho, une artiste japonaise talentueuse


Voici une artiste qui méritait que l'on présente son art dans le blog. Etudiante à l'université, la talentueuse japonaise Hikaru Cho, réalise des peintures sur corps extraordinaires et dont l'illusion est parfaite et parfois effrayante.  

Hikaru Cho, également connu par son surnom, Chooo-san, s'est inscrit à la Musashino Art University de Tokyo en 2012. Elle n'a que 21 ans mais elle a attirée l'attention de plus d'un professionnel par son sens son extrêmement détaillé et créatif des peintures corporelles. Avec elle, pas besoin d'acheter un déguisement pour Halloween. Une artiste dark à souhait.


Voici une sélections de ses réalisations en photo, sombres, surnaturelles, dérangeantes...à vous de choisir! Un talent rare. Les modèles sont assez jolies aussi, enfin sans les peintures!





Zomboobies, un film d'horreur japonais délirant


Allez un peu d'humour avec un grand nanar en préparation. Je vous propose un film américano-japonais délirant de Mike L. Taylor que je ne pouvait pas manquer de vous présenter est en cours de réalisation : ZOMBOOBIES.

Le film qui est censé être situé dans le monde de l'horreur japonais et de la comédie, a également un titre japonais : oppai - Zuki zombi , ou "zombies amoureux des seins". Vous l'avez compris il s'agit  d'un film d'horreur délirant où les zombis sont fous des poitrines généreuses des belles japonaises...un délire sexy et amusant à voir au 3e degré. Jolies filles et zombis, cela n'est pas nouveau mais ce film à l'air assez drôle. Un nanar sympathique.

Les internautes japonais semblaient perplexes sur le fait que le film était un hommage au cinéma japonais : vous pouvez regarder la bande-annonce complète ci-dessous pour juger par vous même.

Au Japon, le succès des locations où sont mortes des personnes


Le Japon est, comme toute l'Asie d'ailleurs, une région de superstitions. Dans l'archipel, les lieux où les gens sont morts de façon inhabituelle (suicide, assassinat etc) sont loués à des prix beaucoup moins cher que d'habitude en raison d'un manque de demande. Cependant, les agences immobilières voient une hausse chez les personnes à la recherche spécifiquement ce genre de « chambres de la mort ». Cela peut sembler terriblement morbide, mais en général ce n'est pas d'un désir d'être proche de la mort. Au contraire, pour ceux qui peuvent mettre de côté leurs superstitions culturellement enracinées, c'est une façon d'économiser de l'argent pendant les périodes difficiles.

Les bâtiments où une mort a eu lieu, sont appelés "jiko Bukken" en japonais ou « bâtiments d'incident », un texte ambigu similaire à la "Jinshin jiko" ou « accident humain » utilisée quand quelqu'un tombe sous un train.
Chizuko, le propriétaire d'une agence immobilière qui s'occupe exclusivement des bâtiments d'incidents, explique que « nous avons des techniques de nettoyage les plus avancés, et après un certain temps l'odeur et les taches disparaissent ». Mais ce n'est pas seulement les considérations pratiques qui découragent les japonais de vivre dans ces endroits . Il y a une stigmatisation culturelle qui amène les gens à sentir que le lieu est entachée et impur, et amènera le malheur dans la vie du prochain résidant. Cependant, ces jours-ci les agents immobiliers constatent que les personnes ayant moins de moyens économiques sont prêts et même impatients de vivre dans ces endroits moins chers.

Un homme de 40 ans, appelons-le Yamada , a commencé à vivre dans son appartement d'une pièce en Juin 2012. Son appartement est situé dans Shinjuku dans le centre de Tokyo et est âgé de plus de 20 ans. Pourtant, pour une telle zone centrale , son loyer est étonnamment peu cher à seulement ¥ 40,000 (391 $ US) par mois, environ la moitié du prix local moyen. La raison de ce faible taux est que le locataire précédent a été retrouvé mort dans sa chambre, mort de maladie. Yamada était au courant de cela quand il a emménagé car au Japon il y a une obligation légale de divulguer les décès qui ont eu lieu dans la propriété dans un certain laps de temps.

Selon M. Morita , un avocat spécialisé dans l'immobilier , il existe une obligation légale d'informer le locataire ou l'acheteur 5 à 7 ans après l'accident. On va jusqu'à inclure la date où le locataire est décédé, la date la découverte du corps, leur âge et leur sexe, et la raison du décès. Et pourtant, même avec tous ces détails « la moitié environ des chambres sont remplis dans le mois de la publicité ». 

Une raison pour laquelle tant de gens sont si désireux de s'installer dans ces chambres indésirables est due à un manque de logements sociaux pour les ménages à faible revenu.  Dans le Japon moderne, la certitude de louer pas cher et d'avoir un endroit pour vivre l'emporte aujourd'hui contre le risque de possibles répercussions karmiques à l'avenir. Quand on connait les superstitions et croyances des japonais, on se dit que la crise du logement au Japon est vraiment terrible. 

Un monstre gigantesque découvert au Cambodge


Une information que nous avions jusque là passés sous silence : la découverte en 2008 d'une créature gigantesque déterrée au Cambodge. Ce monstre énorme aurait été découvert lors d'une excavation pars des habitants d'un village reculé du nom de Montauk. Cette créature fait penser aux vers géants mythiques de certaines cultures asiatiques qui engloutissaient d'une bouchée hommes et bétails. De quoi intriguer les fans de cryptozoologie.